mercredi 17 novembre 2010

Les technologies nous étouffent.


J’étais à l’école, en ce mercredi matin, lorsque je remarque tout ces yeux de jeunes étudiants rivés à leur cellulaire en train de texter probablement leur problème quotidien à leur amis. Je me rends compte à quel point toute la société est dépendant de ces petits gadgets technologiques. Cela est, à mon goût, une manière de s’évader et nous met une barrière obstrué devant nous. On oublie de vivre, de regarder la beauté des choses qui nous entoure. Nos yeux se brument, notre vision rapetisse pour ne voir que cette communication qui est si importante à nos yeux.

Cette relation que nous entretenons avec ces technologies est d’une étroitesse absolue allant jusqu’à transporter ce gadget n’importe où. Ne sachant pas ce que l’on deviendrait sans cela. Si indispensable. Je désignerais cela comme de la dépendance. Et, on oublie l’essentiel.

Il y a, par exemple,  la télévision ou l’ordinateur qui peut perturber la vision et la concentration des jeunes. L’ordinateur est d’une grande utilité, il est bien vrai, mais passer plus de 20 heures par semaine devant l’écran peut être évidemment nuisible pour ces jeunes. Hypnotisé par ces communications instantanées, ceux-ci en oublient l’essentiel : le sommeil. Il y en a qui peuvent rester des heures et des heures devant un écran jusqu’à tard dans la nuit et, ainsi, ils sont moins concentrés le lendemain.

Utilisé de façon abusive, c’est nuisible pour la santé! Avec une petite étude sur une quarantaine de jeune de 8 à 22 ans envoyant plusieurs textos avant d’aller dormir, les chercheurs découvrirent que, le lendemain, à l’école, plus du trois quarts avait de la difficulté à se concentrer. Cette dépendance à la technologie est de plus en plus grave. On ne voit peut-être pas les conséquences mais donner un cellulaire ou un portable à un enfant de 8 ans, par exemple, n’est pas vraiment une façon de l’aider.

Au contraire, on invite cet être dans un univers qui peut l’influencer d’une mauvaise manière. C’est révoltant!

Par ailleurs, je regarde ces zombies le matin, se dirigeant pour aller à l’école, dans la rue, leur cellulaire à leur main attendant avec impatience des nouvelles de leur cercle d’amis. Est-ce vraiment nécessaire? Je vois plutôt cela comme une déformation de notre génération. Nous n’avons qu’à regarder nos sources de communication : les messages textes et ceux transmis par l’ordinateur.

Et, je pourrais appuyer le fait que beaucoup d’entre nous est tellement accro au cellulaire qu’ils continuent à parler en conduisant en voiture. Malgré la loi qui l’interdit, j’en vois quasiment à tous les jours ainsi, la main à son téléphone tandis que l’autre main tient le volant. C’est d’une grande imprudence! Je ne voudrais surtout pas vous dire et vous surprendre en vous disant que cela ne fait pas du tout diminuer les accidents de voiture. Cela empire d’une manière fulgurante.

 D’une lâcheté incommensurable, on utilise beaucoup plus les technologies au lieu de se rencontrer et de se parler. Je généralise, c’est sûr, mais il y a, en ce sens, quelques vérités. Cette forme de discussion fait de nous des êtres paresseux.

Je voudrais ne pas parler de ces stupides conséquences et me dire que tout est là pour le meilleur mais c’est faux.

lundi 8 novembre 2010

Rien ne file aussi vite que le temps!

Aujourd'hui, je me rends à l'école comme tous les jours de la semaine. Habituellement, je ne fais pas attention au environ, perdue dans mes pensées. Pourtant, en observant ce qui m'entourait, je fus abasourdi de remarquer que l'hiver approchait. Le froid, les feuilles tombées, l'odeur automnale n'était que quelques indices me montrant que l'automne battait son plein. Alors que j'étais à peine consciente que la moitié de la session était passée, voilà que je me butais à la réalité. Le temps nous emporte, voilà tout. C'est une machine infernale.

 C’est tout à fait comme un sablier qui, près de nous, fait tomber ces quelques grains de sable dans un doux chuintement. On ne l'entend pas mais, après coup, on voit à quel point toute notre vie est si courte.

 C’est le temps qui est notre pire ennemi de nos jours.

Il est futé et mesquin. Rien de moins. On cherche à brouiller les pistes de son passage, mais rien n’y fait. Il est toujours là, nous espionnant comme une taupe. Pauvre tache!

 À défaut de pouvoir doucement et paisiblement écouter le tic tac continuel d’une horloge grand-père, on se permet de vivre tous nos rêves avant que nos os ne craquent, que notre vue se brouille ou simplement qu’une maladie ne nous limite. Il n’y a rien de mal à faire cela, ce n’est pas ce que je dis. Beaucoup ont de l’énergie à revendre et une jeunesse brillante. Il y a que beaucoup d’entre nous ont peur de manquer de temps et ont un horaire ultra chargé. Il est donc très dur de ne pas stresser avec cette montagne de chose à faire. Le stress nous engloutit. Et c’est tout à fait normal que tout cela provoque en nous une certaine nervosité et on se demande si on aura assez de temps pour tout faire.

Toujours dans l’espoir d’atteindre cette notion de temps et de la dominer, on se croit invincible dans ce mécanisme ininterrompu. On défie la nature. Beaucoup de jeunes, pour braver la plus grande angoisse au monde qui est la mort, décident de participer à des défis comme Jackass. Ils veulent savoir la limite de leur corps. Avec des épreuves stupides d’une grande absurdité.

Ce temps nous poursuit toujours. On entend toujours la grande aiguille revenant toujours sur le chiffre douze. On sent la lourde porte d’une ancienne maison grincer avec ses centaines d’années. On ressent alors la puissance des minutes. Et, nous ne pouvons rien faire. Nous sommes impuissants et c’est enrageant.

Qui n’a jamais voulu prendre une horloge et la débrancher pour ne plus voir les minutes s’écourter? C’est mon cas. Je voudrais être immortelle et pouvoir toucher le ciel. Être capable de faire tout ce dont j’ai envie, oublier les échéanciers qui nous apportent du stress, ne pas vieillir. Ces raisons sont égoïstes, il est vrai, mais, sans la contrainte du temps, nous pourrions également passer plus de temps en famille ou avec les gens que l’on aime. On cherche impertinemment à faire vivre nos expériences les plus intenses d’une manière accélérée.

On n’a pas le choix. On devient un mouton comme tous les autres.

 La société nous a permis d’être ainsi, prônant la vitesse et l’efficacité dans le travail ou même dans la vie quotidienne. Nous avons été élevés là-dedans et c’est ce qui constitue un conflit pour l’être humain. Je me dis qu’au lieu de compter les minutes, les jours ou même les mois pour être heureux il y a tant à découvrir. Ouvrir ses yeux à de nouveaux horizons. Ne plus tant frémir par le stress.

Je me souviens qu’enfant je répétais à qui voulait bien l’entendre que j’avais 18 ans, que j’étais une grande fille. Âgé de 5 ans, je désirais tellement avoir déjà une vie de jeune adulte que j’imaginais cet âge fictif. Maintenant, ayant atteint la majorité, je songe que tout va beaucoup trop vite, tout est relativement près. Petit, nous voyons nos adultes et nous avons de la difficulté que, bientôt, nous serons à leur image alors que les années passent, se suit à une vitesse phénoménale et nous voilà comme eux autres.

Le piège est tendu, il est là, tout près. Le temps nous passe entre les doigts d’une façon magique et nous chuchote que la fin n’est pas loin. Je ne dis pas de toujours avoir peur. Je trouve seulement qu’on exagère et de faire les choses toujours rapidement n’est pas vraiment idéal.

samedi 30 octobre 2010

Incendies : Un film intense


(Québec) Abordant des sujets actuels tels que la guerre au Proche-Orient, l’amour déchiré d’une famille, la trahison, la violence, les tabous, Denis Villeneuve nous offre Incendie, ce magistral bijou qui fut avant tout une pièce de Wajid Mouawad. Il est tout à fait sain de constater que c’est une parfaite œuvre cinématographique que nous présente Denis Villeneuve tant au niveau du jeu des acteurs, de la mise en scène ou bien simplement de l’histoire qui peut en émouvoir plus d’un.

Touchant, hypnotisant, troublant, Incendie est un de ses films qui ne manquent pas de nous ébranler par le message qui est transmis. Il est d’ailleurs l’un des films de l’année les plus émouvants. Le jeu des acteurs était extrêmement juste nous présentant des personnages, d’une authenticité extraordinaire, qui brillaient par leur crédibilité. Beaucoup de violence implicite, de thèmes tabous mais, dans ce ramassis de désolation, il y a aussi beaucoup d’amour qui en dégage. À travers un fond de guerre, le scénario qui était bien ficelé nous dévoilait le passé s’entremêlant avec le présent pour ne former qu’une seule même histoire : celle de la mère, Nawal Marwan, et de la quête des jumeaux. Le suspens était bien au rendez-vous durant toute la projection de ce film grandiose et le temps qu’il dura ne parut pas du tout traîné en longueur.

À la suite du décès de leur mère, Nawal Marwan, les jumeaux, Jeanne et Simon, reçoivent de leur notaire deux lettres destinées à leur père qu’ils croyaient mort ainsi qu’à leur frère qu’ils ne connaissent pas.  Étant sous le choc de la nouvelle, il décide de répondre à la dernière requête de leur mère et feront ainsi resurgir des secrets inavoués de son passé dans sa ville du Proche-Orient.

Incendie n’est pas seulement un film parlant de la guerre. Poignant, frappant droit au cœur, ce film est d’une immense profondeur frôlant quelques fois la poésie. Au niveau de la caméra qui nous montrait des paysages absolument éblouissant, il y avait beaucoup de plans rapprochés ce qui donnait l’accent à certains éléments qui était importants. Les pièces du casse-tête mystérieux qui entourait le passé de Nawal  Mawran se mettait peu à peu en place. Le jeu des acteurs m’a d’autant plus impressionnée. L’interprète du rôle de la mère, Lubna Azabal, est bouleversante dans son rôle. Elle sait jouer son personnage d’une façon juste et honnête. Les jumeaux joués par Mélissa Désormeaux-Poulin et Maxim Gaudette nous offre également une prestation admirable sans prétention et en toute pudeur.

Acclamée par le public et les critiques, il est tout à fait accordable que ce film se soit hissé  jusqu’au Festival international du film de Toronto comme meilleur film canadien 2010. Je considère qu’Incendie est un film profond cherchant avant tout à se questionner  sur l’amour, sur la famille, sur la vie.

lundi 25 octobre 2010

Avoir de l'argent, ça ne mène pas directement au bonheur...

Hier, mes voisins installaient leur abri d’automobiles. Seul, mon voisin devait se démener à cette tâche difficile. Je voyais dans ses yeux que c’était très pénible et qu’il avait besoin d’aide. Étant toute seule, je ne pouvais pas l’aider et, n’étant pas très forte, je n’aurais pas été d’un grand secours. Pourtant, malgré un grand nombre de gens dans mon quartier, personne n’est venu l’aider. Et, pendant que ce pauvre monsieur devait installer seul son abri, d’autre gens en installaient des plus gros. Dans une idée de grandeur, de prestige. C’est épouvantable à quel point les gens comme mes voisins sont pris dans cet individualisme.

Les gens, majoritairement, osent à peine lever un regard sans préjugés ou sans jalousie. On envie notre voisin parce qu’il a un plus beau jardin que le nôtre, on voudrait tant avoir une automobile plus belle et qui coûte tellement plus cher que celui que l’on a déjà. Vous finissez par vous laisser tenter avec l’argent que vous n’avez pas seulement pour être bien perçu aux yeux de tous. Quelle foutaise! Au diable ces idées préconçues que les médias nous embobinent. Le prétexte que  le bonheur apparaitra lorsque tous ces biens extérieurs et matérielle nous appartiendront. C’est faux! D’une naïveté extrême, vous essayerez probablement de justifier :

« L’argent, ça sert pas à rien! Lorsque je veux quelque chose, je l’achète. Y a rien de mal à ça! Et, j’ai une carte de crédit, faut bien que je l’utilise.»

Évidemment que l’argent sert à être dépensé. On doit se nourrir, se vêtir, se loger. Des éléments primordiaux pour une vie saine. Ce qui est moins normal c’est de se sentir en «compétition » auprès des autres individus. D’acheter des objets qui nous sont inutiles, par exemple. Alors, dans ce cas-là, je voudrais demander à ceux ayant beaucoup d’argent, êtes- vous plus heureux? J’en doute.
 À la place de vouloir tout s’approprier, de faire un Séraphin de soi et ensuite se pavaner de fierté en se vantant et en regardant les autres d’un air qui veut dire «j’ai quelque chose de plus beau, de plus high-tech que toi» est d’une stupidité et d’une inutilité accablante.

Lorsque je pense qu’il y a à peine une centaine d’années, vivant de nos propres moyens avec l’agriculture, nous étions un peuple soudé qui s’aime et qui apprécie le fait d’être en famille. Il est certes vrai qu’il y avait beaucoup de famille pauvre. Par contre, ils passaient des soirées à danser avec entrain, à jouer de la musique folklorique et à chanter tout ensemble ce qui est, de mon avis, une façon de se sentir accepté et heureux dans sa famille.

« Il est évident qu’on est plus dans ces temps-là. Comme toute chose, la société a changé et voilà où on est rendu. La famille, c’est plus si important de nos jours avec les familles recomposées. »

Il est vrai que le temps des grandes familles est révolu, mais l’idée reste que les valeurs sont rendues éphémères de nos jours. On dirait qu’il est impossible d’être heureux sans bien extérieur.

 C’est saisissant de constater cela. Ainsi, on met plus la priorité sur l’argent que sur le bonheur. Tout comme les objets éphémères que l’on achète, l’amour et le mariage ont perdu de son importance. Des gens se rencontrent, semblent bien s’aimer, s’attachent l’un à l’autre, mais, sans crier gare, se séparent. Finalement, ils se testent sans réfléchir. Comme une chose normale. Au contraire, il n’y a rien de plus absurde. Un être humain n’est pas un jouet et le mariage n’est pas un jeu où perdre signifie divorcer. Je trouve cette situation grotesque et cela me frustre énormément.

Des paons fiers, voilà ce que la société est.

 Tous voient la vie comme un jeu, un gigantesque jeu de Monopoly où le but, évidemment, est d’avoir le plus d’argent ou le plus de terrains possible. Nous sommes loin de nos ancêtres. La sueur qui a coulé sur leur front nous indifférent. Le présent est tout ce qui nous préoccupe. Le plaisir de vivre, la jeunesse et la beauté. Nous avons appris à aimer notre propre personne oubliant ainsi certaines valeurs d’antan qui n’était pas si mauvaise. Le monde tourne, désormais, autour de nos propres nombrils, enfouis dans nos problèmes personnels qui n’intéressent personne, en fait.

Si on pouvait se réveiller, se détacher de cette société qui nous envahit de publicité. On pourrait ainsi, unis, penser à un engagement nouveau. Un gouvernement satisfaisant. Peut-on rêver plus en couleur? Il est bien possible.

mardi 12 octobre 2010

Les infirmières ne sont pas des objets !

Je pense à une de mes amies, il y a quelques années, qui devait choisir son métier, celui qu’elle devait faire inévitablement pour de longues années. Elle m’avait fait part qu’elle désirait aider cette société. Elle voulait devenir infirmière.

 La société a, quelquefois des rêves grandioses comme mon amie, quelquefois idéalistes. Beaucoup d’espoir qui permet de fonder une société meilleur et plus en santé. C'est ce qu'elle voulait faire.  Tandis que certains tenteront coûte que coûte de faire évoluer la société dans plusieurs domaines dont la technologie informatique, l’enseignement, mon amie promettait d'aider la santé.
Incertain, elle hésitait comme tout étudiant qui a peur de faire le mauvais choix. Ses pensées se heurtaient, s’entrechoquaient pensant tour à tour à l’argent, au bonheur et au confort. Le désir d’une belle vie. Ce qui est sûr c’est que cette décision est cruciale. Vitale. Elle est le cœur de notre future vie d’adulte, rien de moins. 
Pourtant, je n’ai pas envie d’y penser. Je ne veux décevoir personne, pas même moi.
Je voudrais tant ne pas assumer ces responsabilités. Ces choix de vie ne sont qu’une entrave. Un poids immense. J’aimerais pouvoir m’en débarrasser mais rien n’y fait. On y est tous confronté.

Qui n’a jamais voulu sauver le monde?  Sentir l’humanité à ses pieds.  Être un emblème de bonté. Devenir un héros de charité telle une mère Teresa, personnage exemplaire, qui sauverait les plus malades. C’est d’infirmière dont je parle. De générosité envers le peuple. De bravoure également. Il  en faut pour ces personnes qui côtoient tous les jours des gens frôlant la mort ou simplement avoir le courage d’accompagner dignement les blessés jusqu’à la lumière divine.

Et encore, rien n’est plus accablant que ce métier. Je n’en doute pas une seconde.

Je devrais appeler cela travaillé sans relâche. Épuisé. Ces femmes et ces hommes abusent les quarts de travail pour un salaire qui leur permet à peine de voir leur famille. L’exemple qui m’a frappé est un infirmier de Montréal se voyant assigner un total de 18 heures de travail d’affilé. De la folie, oh oui! Pure gaspillage. Comment peut-on réussir à faire ce métier et en tirer à peine quelques avantages? Il n’y rien de plus frustrant que de voir cette injustice. Qu’elle nous frappe en plein visage. Pour moi, rien ne serait plus important que de considérer les infirmier(ière)s  proprement comme des êtres humains ayant une vie personnelle. Et, non plus des accessoires qui sont prisonniers de leur travail. L’encouragement de ce dur travail serait sain.  Chassé de toutes inquiétudes et du stress, ces travailleurs seraient hautement plus efficaces.

Je n’ai pas envie de voir cette réalité. En être conscient est une chose et agir en est une autre. Je voudrais mettre un bandeau sur mes yeux, ne plus sentir sur mes épaules la honte.  C’est l’abondance de ces infirmier(ière)s  qui nous manque. Le plan n’est pas loin mais si impossible à atteindre si l'on ne fait rien.
De plus en plus, on voit la génération des baby-boomers qui prend de l’âge. Ils vieillissent comme tout le monde. La crainte plane autour de nous. Cette pénurie d’infirmière est la cause de cette angoisse. Pris au piège des baby-boomers qui auront besoin de soins, le train de vie de ces infirmier(ière)s  deviendra infernal et atroce. Plus cette génération vieillit et plus ces travailleurs seront importants pour notre société. On en aura besoin davantage.

Cette amie attendait une réaction de ma part face à sa décision. Je n’ai pas voulu la désarçonner par la peur qui m’habitait.  Je voulais l’encourager et c’est ce que j’ai fait. La motivation faisait étinceler son regard. Je voulais oublier ce problème qui nous engloutira et, en même temps, m’accrocher à une parcelle d’espoir. Celle d’un monde qui se réveilla et prendra ces sérieuses causes en main.

En appuyant mon amie, j’avais l’impression d’encourager ce problème qui me tenait à cœur.

Tout a un début.

Ce blogue est un travail scolaire. Voyeurs pervers, commentateurs mesquins et autres chercheurs d'embrouilles : passez votre chemin.